Rencontre avec Norrington

L'amiral et un groupe de
soldats s'approchèrent de la porte en bois gravé du bureau de l'amiral
Norrington. L'amiral James Charles Karmer observa la grande cour du fort où tant d'etre meprisable portant le nom de pirates avaient finis au bout d'une corde à cause de leur gestes realisés dans le passé. Elle était
bien plus grande que dans son souvenir d'enfance. Mais il faut bien
dire que cela faisait longtemps qu'il n'était pas venu ici. La derniere fois, il avait été présent pour la premiere promotion au titre de commodore de James Norrington. Il
s'adressa aux officiers et aux noir manteaux, qui étaient ses propres hommes, qui le suivaient :

-
Veuillez m'attendre ici je vous prit. Je vais m'entretenir avec le
commodore, heu....., Du moin, maintenant, amiral Norrington pour etre precis, et que nous
puissions fixer un accord entre nos deux secteurs de l'armée, en autre, celle de la marine royal et celle de la couronne, pour ceux qui n'avait pas compris.

Il tendit sa main vers la poignée dorée. Mais meme moment, une voix l'interpella :

- Monsieur ! je vous en pris, monsieur !

L'Amiral
recula doucement et se pencha vers la source de cette voix. Il aperçut un homme
en uniforme bleu d'officier qui courait vers lui. Il s'arrêta quelques
centimètres devant lui.

- Puis-je savoir qui vous êtes pour m'interpeller ainsi officier ? Je suis l'amiral James Karmer et vous qui êtes vous ?

- Je suis Capitaine, Amiral. Et si vous souhaitez rencontrer l'amiral Norrington, vous devez me le signaler avant pour que je puisse le prevenir et lui demander s'il peut vous recevoir.

L'Amiral regarda ses officiers qui attendaient derrière lui puis se tourna de nouveau vers le Capitaine qui venait d'arriver.

-
Tres bien, alors allez le prévenir que l'amiral James Charles Karmer
veut s'entretenir avec lui le plus vite possible pour des raisons tres importante. Alors qu'est ce que
vous attendez ?! dépêchez vous !

Karmer attendit devant le bureau après que le capitaine y soit entré rapidement. Il voulait que cela accélère le plus vite possible pour regler cette affaire entre les deux secteurs de la marine.

James était trés ocupé en ce moment. De plus, les interppelations de Lord Beckett se faisaient de plus en plus nombreuses et il essayait de garder son calme mais pourtant.... il sentait qu'un jour ou l'autre, ça finirait par éclater! Comment le lord pouvait-il laisser les gens de Port-Royal mourir de faim? Comment pouvait-il les laisser dans la misére? Il essayait de faire son possible pour régler certaines affaires mais.... tout n'était pas toujours réglé! Norrington ne pouvait pas être à plusieurs endroits en même temps....
Le regard braqué sur la fenêtre, mains derriére le dos, Norrington observait les environs, espérant pouvoir voir quelque chose de rassurant.

Soudain, il entendit frapper à sa porte. Légérement plongé dans ses pensées, le Commodore ne réagit pas tout de suite. Il n'avait pas vraiment entendu le frottement sur la porte.

Se fût à la deuxiéme tentative que le son du bois lui parvint aux oreilles.

-Entrez! lança t-il de sa voix calme et juste.

Hum....Que se passait-il cette fois? Lord Cutler Beckett avait-il oublié de lui signaler quelque chose? Ou étais-ce quelqu'un qui voulait le rencontrer? Norrington se retourna pour faire face à l'officier qui venait de pénétrer dans le bureau.
Celui ci se mit directement au garde à vous et lui annonça d'une voix claironnante:

-Monsieur, l'amiral James Charles Karmer
voudrait s'entretenir avec vous le plus vite possible pour des raisons tres importantes....Est-ce que je dois le laisser entrer?

James fût assez étonné d'entendre ce nom....Mais que se passait-il encore? Semblant réfléchir pendant un instant, le capitaine ajusta sa voix, cette réaction le fit revenir à lui.

-Oui....Faites le entrer, je pense que cette raison doit être plus qu'importante....

Le Capitaine disposa et se dirigea donc vers la porte. La porte s'ouvrit lentement et se ferma délicatement par la suite.
Le Capitaine s'avança vers l'Amiral et lui annonça:

-Le Commodore accepte de vous recevoir!

L'Amiral ecarta de son chemin le capitaine d'un geste brutal et ouvrit la porte qui s'ouvrit dans un petit grincement. Il vit le commodore fasse à lui le devisagea. Si on ne lui avait pas dit que ce dernier était James Norrington, il ne l'aurait meme pas remarqué. Il fit entrer le commodore Krieg avec lui et referma la porte. Il se mit façe au commodore et le devisagea de nouveau.

- Commodore James Norrington, cela faisait longtemps. J'ai lu les derniers rapports sur vous, j'ai remarqué que vous avez quelques soucis dernierement, n'est ce pas ?

Sans rien demander, il s'avança vers une petite table et prit un verre quile replit de la seul et unique boisson presente.

- Je dois quand meme vous felicitez. Grace à certain stratageme, vous avez reussi à reprendre votre place de commodore.

Il but une gorgée du liquide que contenait son verre et continua :

- Je n'ai pu m'empecher de remarqué que vous etiez un grand ami avec lord cutler Beckett, je vos que vous le porté dans votre coeur ! je suppose que vous preferez servir la compagnie des indes orientales hors de leur juridiction que lamarine royal que vous charissiez tant dans les années passés ou nous travaillons sur les memes navires. J'ai pour souvenir d'un norrington independant, impusilf, qui assume ses actes, tout se que lord Beckett peut vous donner, n'est pas ?

Il eu un petit rire moqueur et se mit a boir une nouvelle gorgée de la boisson.

Le Commodore regarda donc l'amiral qui venait d'entrer. A vrai dire, si on ne lui avait pas dit que c'était l'Amiral James Karmer, il ne l'aurait sûrement jamais deviné. Les deux hommes avaient beaucoup changé les uns les autres.
Mais il y avait quelque chose qui n'avait pas vraiment changé au niveau de l'Amiral Karmer.... son humour vraiment décappant.... Qui aurait voulu d'une personne qui fesait en quelque sorte tout pour vous rabaisser?
L'air soudain plus sérieux, James répondit , tout en se retourna:

-Il se pourrait que oui et.... il se retourna pour être de nouveau face à l'Amiral. ....il se pourrait que non!

James Karmer venait de se servir,tout seul, un verre de la bouteille qui était sur l'une des petites tables du bureau. Le Commodore aurait bien voulu riposter, mais il se dit que ça ne servait à rien de s'énnerver aussi facilement. Oui, James avait toujours été pour la plupart du temps positif et trés calme.
Puis l'amiral se mit à parler, James n'y pretta pas vraiment attention et lui demanda d'une voix assez séche en se retournant vers la fenêtre, mains derriére le dos.

-Que me voulez-vous?

Toujours de cette voix séche, il ajouta:

-Je ne pense pas que vous soyez venu pour me parler de l'ancien temps....

Surpris de la reponse impusilve du commodore, Karmer reposa assez violament son verre sur la petite table. Et regarda d'un regard calme Norrington. Il fit signe à Krieg de s'approcher et lui deplia le porte document devant lui. Il prit une seul lettre, celle qui était sur le dessus et qui pour une fois, porté la marque de la marine royal et pas celle de la EIC°. Il secoua sa main droite qui tenait cette derniere.

- Cela est exacte, je ne suis pas venu ici pour vous parler de bon vieux temps, où vous etiez un grand soldat, mais je remarque que votre court passage chez les pirates vous a bien changé. Vous etes devenu impacient, arrogant, agressif.

Il ressuya sa manche qui avait été imprenier de la boisson et reprit son verre et prit de nouveau une gorgée.

- Je ne suis pas votre ennemie, Commodore James Norrington. Je ne l'ai jamais été, juste votre concurrent lors de la monté en grade, c'est tout, je peux meme vous prouver ce que je vous dit.

Il lui tendit la lettre du roi.

- Quand j'ai lu les derniers rapport de votre carriere militaire, j'ai remarqué que vus n'etiez pas tres proche de Beckett, et j'ai voulu vous rendre un service au titre d'ancien camarade d'ecole d'officier. Voici la lettre signé de la main du roi comme quoi, si vous le souhaitez, vous pouvez revenir dans la marine royal et recuperez votre ancien poste de commodore de Port royal. Bien sur, si vous acceptez, une promotion pourrait bien etre nécessaire. Je suis sur que devenir contre-amiral vous tente commodore. Que choisissez vous ? La EIC° et Lord Cutler Beckett, ou La marine royal et moi meme ?

hj : Top ton nouvel avatar !

Oui, James avait maintenant tendance à être impulsif. Ne prenant même pas la peine de tourner la tête vers l'Amiral, James l'écouta tranquillement.
Sa remarque ne lui fit ni chaud ni froid, il ajouta même d'une voix neutre:

-Se seront les années qui m'auront changé!

Mais quelque chose le bloqua quand sa tête se retourna légérement. Il venait d'entendre un froissement de papier et.... cette lettre ne portait pas le cachet le la Compagnie des Indes, mais le cachet de la Marine Royale. Soudain intrigué, le Commodore se retourna complétement.
Mais pour quoi l'Amiral était-il présent ici? Cette question passait en bouche dans la tête de James qui ne demandait qu'à entendre une réponse.

-Vraiment Amiral? demanda t-il ironiquement en l'entendant dire qu'il n'était pas son ennemie. Dans ce cas veuillez me pardonner d'avoir pensé le contraire....En vous voyant arriver je pensais que....

Puis la fameuse lettre fût tendue juste devant lui avant qu'il n'ai le temps de finir sa phrase.

-Pardon? demanda t-il comme frustré et plus qu'étonné.

Ses yeux se baissérent progressivement vers la lettre. Mais quelle était encore cette histoire? Pourquoi la Marine Royal le rappelait?
Sa tête se redressa lentement vers l'Amiral.

HJ: Merci^^ Je peux t'en faire un si tu veux Very Happy

- j'ai été tres clair, Commodore, vous avez le choix Beckett ou moi. Que preferez vous, reprendre la meme vie avant l'arrivé de Beckett ou garder la miserable que vous avez actuellement. Cela est un service que je souhaiterais vous rendre. A vous de l'acceptez ou de le refuser. Sachez seulement que si vous la refusez, je ne sais pas quand je pourrais vous proposer de nouveau ce genre d'offre. Si je peux faire cela, ce n'est pas par hasard. Je pense que vous serez mieux dans la marine royal ou vous serez plus libre que sous les ordres de Beckett.

Il posa lentement et delicatement le papier sur le bureau de Norrington et se redressa. Il regarda James dans les yeux d'un regard interogateur intense. Karmer savait tres bien qu'il avait semé le trouble dans l'esprit du commodore et cela ne l'etonna point. Il finit son verre et regarda de nouveau le commodore qui fixait encore le seau du roi et de la marine royal. Cela devait le changer de celui de la EIC°.

- Lisez ci vous le souhaitez. Vous verrez quels sont mes possibilités dans cette affaire. Je peux vous monter en grade, vous offrire de nouvelles fonctions, un nouveau navire .... Que decidez vous Commodore ? Commodore ?

Il remarqua que le commodore regardait toujours d'un air des plus bizarre la lettre de la marine royal.

hj : ben je veux bien, cela me changerais de celui que j'ai actuellement ! je te donne carte blanche si tu veux.

James n'arrivait pas à détacher son regard du symbole fixé sur la lettre. Non,il devait certainement rêver.Il navait même pas entendu l'Amiral qui l'appelait.L'air de plus en plus songeur, il prit la lettre dans ses mains et commença la lecture. C'était bien une lettre du roi qui l'informait de sa posibilité de reprendre un poste dans la Marine Royal. Abaissant lentement la lettre de devant ses yeux, le Commodore releva la tête vers l'Amiral.

-Je....

Le trouble était toujours semé dans l'esprit de James. Rares étaient les fois où ce genre de chose arrivait à le perturber mais là.... c'était quand même quelque chose d'import et lui donnant l'occasion de quitter la Compagnie des Indes ainsi que Beckett! Mais que dirait- son supérieur en entendant la nouvelle? L'air encore plus perdu, il se mit à faire les cent pas pour ensuite demander:

-Quelles sont vos conditions...?

Oui, il voulait savoir dans quoi il s'engageait avant de dire "oui" à n'importe quelle offre.
Biensûr que cette offre le tentait, il préférait être dans la Marine Royal plutôt que dans la Compagnie des Indes mais....quelque chose le chagrinait.... Y avait-il des conditions s'il acceptait l'offre?
Sans vraiment attendre de réponse, le Commodore s'assit lentement sur la chaise derriére son bureau. Cette novuelle était certes trés bonne mais...trés destabilisante!

HJ: D'accord,je vais voir pour te faire ça alors Very Happy

Un acteur précis?^^

Karmer ne fuit pas surpris de la quesion du commodore, il s'etait fait assez piegé dans as vie a cause de ce genre d'offre qui semble merveilleuse mais qui cache toujours quelque chose.

- Les conditions...

James reflechissa rapidement aux peu de conditions qui s'imposaient.

- En acceptant l'offre que je vous presente, vous vous engagez a reprendre la direction de Port Royal sur le plan militaire et politique. Vous prendrez un grade qui, malheureusement ne vous changera guere de votre grade de commodore, vice-amiral. Vous serez sous mes ordres mais je ne vous demanderez pas quelque chose toute les heures. De plus, je ne m'oppose pas à la vie privée et sentimentale de mes officiers, ils peuvent rendre service à leur proche ou leur compagne, mais il ne faut pas passer les limites fixés, les services doivent seulement etre accepter en cas d'extreme urgence. Et par la suite, vous eviterez d'essayer de capturer des pirates quel qui soit dans des conditions maritimes impossibles pour eviter decouler un de mes navires. Et bien sur, vous vous engagez a combattre les pirates.

Il remplit de nouveau son verre et but une nouvelle gorgée. En voyant que le commodore avait du mal a suivre, il resuma en plus calir rapidement.

- En gros, les conditions sont d'etre loyal en vers moi et votre pays, et d'assumer vos fonctions de la meilleur façon qu'il soit.

I fit signe de nouveau a Krieg qui s'avança

- Par la suite, si vous acceptez, un officier sera a part, bien que vous serez superieur hierarchiquement, vous n'aurez aucun ordre a lui donner et vice versa. Il a un statut un peu particulier voici le commodore Krieg.

Il ouvrit une nouvelle envelloppe et se mit a la lire.

- Et si vous acceptez aussi, le roi m'a donné la possibilité de refaire construire "l'intrepide" qui sera votre navire personelle, celui que vous avez coulé il y a quelque année de cela, et j'oublie les derniers actes de Sarah Ledermann. Cela me semble convenable comme condition non ?

hj : pas d'acteur precis ni autre personnage !

James écouta donc attentivement les conditions que devait lui donner l'Amiral. Tout semblait normal, pas de mauvais n'était, apparemment prévu, tout pour rassurer le commodore qui s'assit pour se mettre à réfléchir.
L'offre semblait trés....encourageante mais quelque chose le frappa quand Karmer arriva à sa derniére phrase. Il venait de parler de Sarah.Comment pouvait-il la connaitre? Relevant lentement la tête, l'Amiral fronça légérement les yeux.

-Avant tout je voudrais savoir comment vous connaissez Sarah....

L'air calme, le commodore ne l'était pas vraiment.... Non,il n'était pas rassuré à l'idée que Karmer connaisse Sarah.

HJ: Désolé, j'ai fais court^^" Pour ton avatar je suis en train de te le faire Very Happy

- Sarah a été la premiere personne que j'ai eu l'occasion de rencontrer à port royal ce matin meme lors de mon arrivé ici. Elle s'enfuyait pour avoir tué quelqu'un, te par mal chance, elle m'a bousculé et n'a pu continué sa course.

Il lui tendit un nouveau papier mais avec comme initial un J et un K entrelassé sur un cachet de cire rouge.

- Et voici l'accord que nous avons passé ensemble. En acceptant mon offre, contre-amiral, j'oublie le passé de miss Ledermann mais si elle ne respecte pas ce contrat, elle sera de nouveau qualifier de fugitif, elle est recherchait par la compagnie des indes orientales, je ne pourrais rien faire pour elle, je le crains. Or si elle vient a moi seul dans les prochain jours, elle ne subira rien et sera protegé de Beckett.

Il s'avait très bien qu'il tenait Norrington dans une impasse, il ne pouvait que dire oui à l'offre qu'il lui proposait. Cette dernière ne cachait aucun piege, mais James Norrington avait raison d'être méfiant, le passé lui a appris bien des choses.

- Acceptez vous mon offre, Contre-amiral ?

Maintenant, James ne pouvait plus vraiment faire marche arriére. Il se devait obligatoirement d'accepter cette offre. Ho oui, ça lui ferait certainement du bien de retourner dans la marine royale mais.... comment réagirait Beckett? En parlant de Beckett, Karmer venait de lui dire que si Sarah venait à lui, le Lord la protégerait. Bien que James n'était pas trés confiant envers le Lord, il ne pouvait plus qu'accepter.

-Bien,j'accepte votre offre. dit-il avec néanmoins une dose d'appréhension dans la voix. Mais n'oubliais pas notre marché Amiral! lui rappella t-il.

Il préférait lui rappeller parce que s'il ne respectait pas l'engagement, il se pourrait que James Norrington soit légérement....récalcitrant!

L'amiral eu un léger sourire au lèvres, il avait enfin accepté ! Il faut dire que cela a été assez difficile de le décider. Il fit signe à Krieg de s'approcher, il avait dans ses bras un nouveau uniforme de la marine royal. Il le donna a Norrington.

- Voici le nouveau uniforme de la marine royal que vous devrez porter à présent pour assurer vos fonctions. Bienvenue dans la marine royal, Contre-amiral Norrington. Je dois vous féliciter. Je suis un homme qui a l'habitude de respecter des contrats ou accord, ne vous inquiétez point. Par quoi allez vous commencez grâce à vos nouvelles fonctions, Contre-amiral ?

Il faut avouer que, un des défaut et une qualité à la fois de Karmer, c'était bien la curiosité.

James lui, garda un air neutre. Certes content de son nouveau poste mais.... il se demandait s'il avait fait le bon choix d'accepter l'offre de Karmer. Cet homme pouvait se montrer vraiment trés sadique par dessus tout! Pour commencer James se dit qu'il faudrait déjà trouver Sarah. Mais à quoi bon.... Il était sûr que quelque chose allait mal se passer! Ne montrant pas son inquiétude pour la jeune fille, James préféra soutenir le regard de James Karmer. Puis un uniforme se présenta juste devant lui, James le regarda de haut pendant un instant et finit par le prendre dans ses mains. L'amiral lui demanda ce qu'il comptait faire dés le début.

-Je ferais ce que vous me demanderez de faire amiral!
dit-il en soutenant son regard.

Karmer fut surpris de la reponse du contre-amiral, il avait bien precisé dans le contrat qu'il serait autonome ? Non ?

- Contre-amiral Norrington, je viens de vous dire que vous serez quasiment tou le temps autonome, Non ? Si je vous demande cela, c'est que je n'interviendrais point sur vos actions futur, vous devez pas me conciderer comme un superieur, mais ocmme l'ancien eleve officier que vous avez connu. Pour le moment, je suis la seulement pour vous donnez des conseils, vous pouvez me demander de l'aide ... Faites comme si j'etais au meme grade que vous, alors, quels sont vos projet dans un futur proche, Amiral Norrington ? Je pense que je vous appelerez directement amiral, car je trouve que contre amiral est un peu long, et vous pourrez tres bien vous presentez comme amiral si vous le souhaitez ...

Oui, James avait compris qu'il devrait être autonome. Mais il aimait bien jouer un peu avec les autres. Le regard dirigé vers l'Amiral, James posa l'uniforme contre son bureau et l'observa.

-J'avais trés bien compris ce que vous me demandiez. dit-il sur une voix amusée. Disons que je voulais juste voir comment vous alliez réagir....Amiral Karmer. Je compte remplir mon devoir comme prévu, faire attention à ce que je fais....et surtout, faire tout mon possible pour vous satisfaire, même si je suis autonome! Cela vous suffit-il?

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