deux pirates, un amiral .......(pv Barbossa, Sparrow....)

-J'ai était habituer a ne aps amnger pendant près d'un mois... je ne voit pas en quoi cela devrait donc me gêner si vous ne me donner pas a manger...

Sarah avait plus d'un tour dans son sac, il faudrait donc un bon argument a Barbossa pour la convaincre.

[ Bon,alors moi comme je suis totalement largué....Je ne poste plus!^^"]

[HJ: Hoooooo Sad

^^]

Invité

_ c'est bon, vous avez gagné mlle. Mais comme je suis généreux, je vous offre tout un cajot de pommes. Mangez et restez dans votre coin.

Sarah le regarda bizarement. Il est bizare ce guguse quand même... ^^ De pommes, qu'est-ce qu'elle s'en fichait de ses pommes !
Elle s'éloigna de lui et regarda les navires de a marine royale s'éloigner petit a petit. L'auraient ils oublier ? Elle baisa la tête et soupira... Il fallait qu'elle toruve un moyen, n'importe lequel pour partir de ce maudit bateau !

Boisnoir faisait les cent pas sur la dunette du Royal Louis. Le temps était plutôt doux grâce à la bonne brise qui permettait aux quatre navires français de se mouvoir avec élégance sur l'eau. Boisnoir s'arrêta devant une des pièces de quatre de la dunette. Il lui sembla entendre le tonnerre au loin. Non! C'était un crépitement beaucoup plus léger que le vent lui apportait. Oui, c'était bien le son du canon. Un des enseignes du Royal Louis s'approcha l'air excité. Il était de coutume parmi les lieutenants de confier les corvées à leurs subalternes. Et déranger Boisnoir dans sa promenade sur la dunette était une dangereuse corvée.

-Mon général, l'officier de quart vous informe que le canon a été entendu par bâbord avant.

-Croyez-vous que je ne l'avais pas remarqué jeune homme? Allez disposez!

-Bien, monsieur!

La queue entre les jambes, le jeune officier détala sur le gaillard d'arrière aussitôt remplacé par le capitaine de pavillon de Boisnoir. Ce dernier était un homme d'une bonne quarantaine que Boisnoir connaissait et estimait. Il avait calé sa lunette sous son bras et son épée battait sa jambe gauche avec rythme. Il toucha le bord de son chapeau en saluant Boisnoir.

-Si ce n'est pas le canon, mon général, je veux bien que l'on me dégrade. Que dois-je ordonner mon général?

-Signal à la division : "Chasse générale - Faire route au nord-est".

-Bien mon général.

Cette zone correspondait à l'aire de patrouille de l'amiral Karmer et Boisnoir n'avait aucune envie de laisser ce maudit anglais se tailler la part du lion. Il n'avait aucun doute sur la capacité de défense de Karmer, ce n'était pas les pirates qui risquaient d'inquiéter Karmer. Son navire-amiral, le Royal Eagle, n'avait rien à redouter des pirates. Avec 110 canons, il pouvait les réduire en miettes avant qu'il n'ait pu ouvrir le feu.

-Voiles en vue.

-Une bâtiment endommagé. Deux vaisseaux de ligne britanniques, un autre navire qui fait feu. L'un des britanniques est un trois-ponts, Monsieur.

Ce devait être le vaisseau de Karmer quant au navire endommagé ce devait être un pirate ainsi que celui qui croisait le feu sans cesser.

-Bon. Signal à la Couronne et à l'Espiègle : "Regagnez la zone de patrouille". Signal à la Sybille : "Prenez en chasse le bâtiment désemparé". Pour ma part je vais m'approcher du bâtiment de Karmer.

Invité

Elle ne lui laissa pas en faire un deuxieme qu'elle était deja partit au pas de course à sa rencontre. Des qu'elle put, elle lui sauta dans les bras sans que Karmer ne puisse rien faire et l'embrassa. Elle ne savait pas ce qui venait de lui prendre, mais elle ne s'arreta pas pour autant. Elle en avait tant envie, tant revé depuis son arrivé a Port royal. Elle se demandait comment elle allait faire. Et puis, il y a eu Barbossa qui la enlevait et tout s'est enchainé si vite ...

Karmer ne comprit pas immediatement ce qui venait de se passer. Le temps qu'il reagisse, camille etait deja dans ses bras en train de l'embrasser, mais il ne savait que faire. Il la tira en arriere et la regarda d'un regard interogateur. Il n'avait point compris pourquoi elle avait fait cela en ce moment meme, devant tout ses officiers reunis. Il ne savait que dire.

- Camille, je ne pense pas que cela soit le meilleur moment pour ce genre de ...

Il fut interompu par le capitaine de vaisseau. Il regarda d'en la direction indiqué par celui ci vers l'horizon. Karmer ne pouvait y croire, un nouveau navire approché. Il lacha rapidement Camille Marquez, prit des main du commodore la longue vue et regarda en direction des nouvelles voiles blanche qui venait d'apparaitre. L'Amiral ne comprit pas immediatement, et il aurait preferé ne jamais comprendre. C'etait le Royal Louis, le navire amiral français de l'amiral Marc de Boisnoir, il n'allait donc jamais le laisser tranquille.

- Commodore krieg, signalez à l'amiral Norrington de ne point appliquer les ordres de de Boisnoir, qu'il prenne possession du Chaos of Carribean. Rangez les canons et la poudre, jetez l'ancre immediatement ! Soldat en formation !

Il s'avait que de Boisnoir s'approcher de son navire pour encore s'amuser avec ses nerfs. Le Royal Louis etait maintenant tres proche à tribord.

-Oh! fit Boisnoir.

Il venait de voir dans sa longue-vue l'amiral Karmer se faire embrasser par une charmante créature. Devant tous ses officiers! Quand même, il fallait oser. Mais bon, c'était une affaire de protestants, leurs moeurs étaient sans doute beaucoup plus dissolus que celles des catholiques.

-Eh bien on ne s'ennuie pas chez ce brave Kramer! Si c'est tous les jours comme ça... Je veux bien m'engager sur l'instant à son bord.

Les officiers de la dunette qui avait vu la scène s'esclaffèrent bruyamment. Comme tous les Français, ils détestaient globalement les Anglais et en particulier les officiers comme Karmer qui n'étaient pas de vrais marins mais particulièrement des chanceux fortunés. Cependant il devait reconaître à Kramer qu'il était extrêmement chanceux d'avoir conquis cette séduisante femme. Boisnoir n'était pas mauvais perdant, d'autant plus qu'aucun amour ne touchait plus le coeur de Boisnoir.

Déjà le Royal Louis approchait rapidement de l'Eagle, le fier Premier rang de Karmer. Ce n'était vraiment pas un mauvais navire, certes il était moins bien bâti que le Dauntless ou le Victory mais il avait de superbes décorations et une belle rangée de canons. Son équipage se rangea sur le pont et les passavants pour voir approcher l'impressionant vaisseau français.

Boisnoir se saisit de son porte-voix. Les deux navires étaient à porte de voix, aussi commença-t'il:

-Alors Kamrer? Vous oubliez vos devoirs, il y a un navire à capturer... Tant pis pour vous, à moi les parts de prise! Au fait, soyez plus discrets, il y a des cabines pour cela...

De nouveau, les officiers rirent sous cape. Fier de son succès, Boisnoir fit un faux clin d'oeil à Karmer et mit son index dans un rond formé par les doigts de son autre main en tournant le dos à Karmer. Puis fort de ce geste obscène, il se retourna vers Karmer et leva un pouce approbateur.

Il regarda d'un regard noir le navire français et plus encore l'amiral qui etait a bord. De boisnoir ne pouvait donc jamais se retenir de dire quoi que ce soit. De plus, il parle en non connaissance de chose. Le pearl etait bien plus rapide que l'aigle imperial, son poind legé lui avait permis de prendre de l'avance et Karmer ne voulait pas les suivres avec son navire. Mais la course au Pearl allait etre pour le contre-amiral. Mais si ce cher Boisnoir voulait prendre part à cela, Karmer n'allait point si opposé si cela pouvait l'eloigner le plus possible de l'amiral britannique. Il regarda les officiers français rigolaitent lamentablement comme des enfants. Il tourna le dos au royal Louis et s'approcha de Krieg.

- Nous allons eviter d'autre probleme avec ces bouffons de français, ammenez Miss Marquez dans mon bureau. Surtout pas dans ma cabine.

Alors que le commodore partait avec camille en direction du bureau de l'amiral, celui ci regarda de nouveau les singe qui composaient les officiers de de Boisnoir. Il leur afficha un grand sourire pour bien leur montrer de l'absurdité de leur propos.

- Amiral de Boisnoir ! que je suis heureux de vous revoir ! Si vous souhaitez aller couser le pearl, allez y ! je vous en laisse l'honneur ! En se qui me concerne, j'ai bien d'autre projets. A oui j'allais oublier, il y a encore un otage à bord, Sarah Ledermann, je compte sur vous pour la liberer. Je comptais le faire par d'autre moyens mais puisque vous etes ici, vous vous debrouillerez bien sans moi ! En ce qui me concerne je retourne à port royal pour continuer mon travail de depart, la cause de pourquoi je suis ici, dans les caraibes au lieu d'etre à londre.

Il retourna à la barre

- Tant que j'y suis, je me passerais bien de vos commentaires, et dites à votre bande de singes de se calmait, je vous serais tres reconnaissant.

Le contre-amiral était sur l'Endeavour. Il donnait les ordres pour dire aux soldats de se préparer à suivre les navires pirates. Puis, alors qu'il s'apprêtait à leur demander d'aller aux canons, il aperçut le commodore Kreg qui lui signalait qu'il devait poursuivre le Chaos of Caribbean. L'ordre fût donc passé au contre-amiral. Maintenant il suffisait de sortir es cartes de ses manches et de....de les plaquer sur la table! Les soldats,sous son signalement, se remirent donc tous à leur poste et James alla à la barre du navire.

-Sortez les canons! cria t-il.

Mieux valait prendre ses précautions avant toute chose. Mais quelque chose le chiffonnait. Et si les deux supérieurs donnaient des ordres totalement différents les uns des autres?! Que devrait-il faire?!
Néanmoins, pour le moment, peu lui importait! Tout ce qu'il voulait, c'était réussir à suivre le navire qui retenait la jeune Sarah.

-A tribord! cria t-il le plus fort possible.

Le navire se mit en route. Le contre-amiral jeta un dernier regard à James Karmer, un petit sourire,et sa tête tourna vers le navire qui prenait la fuite.
Aucune fois son regard ne croisa celui de l'officier français.

Boisnoir laissa l'Eagle passer sur sa hanche, il distança le bâtiment de Karmer, le laissant à ses ébats puis pointa sa lunette sur l'horizon. A plusieurs encablures, se trouvait l'Endeavour de Norrington. Même en forçant les voiles, il aurait du mal à le rattraper. A bâbord, se trouvait la Sybille frégate française de 32 canons que Boisnoir avait envoyé poursuivre le bâtiment pirate. Elle avait des chances de le rattraper mais le Black Pearl, malgré ses avaries, était extrêmement rapide. Mais Boisnoir fut surpris, l'Endeavour avait mis ses canons en batterie et commençait à virer de bord... En cassant ainsi son erre et en venant dans le vent, il risquait de perdre de la vitesse et ne serait plus en mesure de rattraper le navire qu'il poursuivait.

Sauf si un coup chanceux permettait de briser un des espars, mais à cette distance... Boisnoir regarda le bâtiment que coursait Norrington. Il distingua son nom, Chaos of the Carribean, un peu présomptueux comme nom. Mais bon les pirates aimaient effrayer plus que tout; cela n'avait rien de surprenant.

Mais le bâtiment pirate prenait déjà de la distance... Avec leur lourd vaisseau de ligne, ils ne parviendraient jamais à le rattraper! Boisnoir se tourna vers l'officier des signaux:

-Signal à l'Endeavour : "Suggérons de suspendre la chasse".

Une chasse infructueuse pourrait s'avérer déplorable sur le moral des hommes. Karmer aurait du y penser. Cependant, Boisnoir avait utilisé le "suggérons" pour ne pas se montrer trop autoritaire vis-à-vis des officiers britanniques.

» Election du roi ou la reine des Pirates! (tout les pirates)
» Absence de l'amiral Karmer
» Le grand Barbossa FINI
» Absence du grand amiral Karmer xD
» le grand Barbossa fut createur???