Bouquinisme!

Chloé s'était rendu très tôt le matin dans le parc. Elle avait prit pour habitude de venir bouquiner sur l'herbe fraîche. Bien souvent, elle s'arrêtait un instant afin de regarder les enfants joués aux pirates. Ce matin là, sa lecture avait été interrompu par l'arrivée d'une inconnu.

"Bonjour."

Lucy se promener dans le parc, se qui n'arrivait pas souvent, mais se matin elle avait decidée d'aller se promener au lieu de s'embeter chez elle toute seule. Tout en marchant sur l'herbe elle pensait a se qu'elle allait faire maintenant qu'elle était seule. Lucy vit une jeune femme qui était en train de lire et decida d'aller lui parler. Elle se dirigea vers la jeune femme et lui dit:
-Bonjour mademoiselle desolée de vous derangez pendant votre lecture.
Lucy regarda la jeune fille et lui demanda gentillement avec un sourire:
-Comment vous appellez-vous?

Chloé releva la tête à nouveau et lui fit signe de la rejoindre.

"Mais ce n'est pas grave!"

Elle posa son dos contre l'arbre avoisinant et lui tendit la main.

"Je m'appelle Chloé Gray. Enchantée!"

Elle observa attentivement son visage.

"Vous êtes nouvelle ici?"

Lucy regarda la jeune fille qui avait l'air trés gentille. Elle s'approcha d'elle et lui repondit:
-Non je vis ici depuis que je suis enfant mais je ne suis pas venue dans le parc depuis bien longtemps. Et vous je ne vous ai jamais vu, vous habitez depuis longtemps a Port Royal?
Elle regarda la jeune fille et s'assaya prés d'elle.

"étrange que je ne vous ai jamais croisé!"

Encore une fois, cette absence de mémoire devait s'expliquer sur la seule raison qu'elle était distraite! En y réfléchissant, Port Royal enfermait de bien gentilles personnes...

"Je dirais, 3-4-5 ans peut-être! Je ne sais plus vraiment..."

Elle referma le livre et le posa sur la pile qui se trouvait sur son côté droit...

"Pourrais-je connaître votre prénom Mlle...?"

Lucy regarda la pile de livres qui se trouvais à coté de Chloé.

-Apparement vous aimez lire.

C'est vrai qu'elle ne c'était pas présenter, elle regarda la jeune fille et lui dis

-Je m'appelle Lucy Jenkins.

"Beaucoup oui, mon enfance a été basé sur les romans d'amour. Je suis une passionnée!"

Elle acquiesça d'un signe de tête.

"Enchantée Lucy."

Elle tourna à nouveau la tête vers la jeune femme.

"Et vous, vous aimez lire?"

Lucy regardez les livres et repensa à quand elle était petite et que sa mére lui lisez des tas d'histoires puis elle entendit la question de Chloé et toujours avec un grand sourire elle repondit:

-J'aime lire mais je ne lis pas souvent, quand j'étais jeune ma mére me lisais souvent des histoires.

En repensant a sa mére Lucy perdit son sourire.

Chloé remarqua très vite le changement de comportement de la jeune femme. Toujours prise par sa curiosité, Chloé conclu:

"Quelque chose ne va pas?"

Elle se doutait que ce changement soudain avait un liens avec sa mère qu'elle avait mentionné quelque seconde auparavant.

Lucy regarda la jeune femme en s'efforçant de sourire et lui repondit:
-Non tout va bien, c'est juste que certains souvenirs peuvent-être douloureux quand on y repensent.

Elle regarda Chloé puis dirigea son regard sur les passants.

"Je comprends parfaitement. J'ai moi même des souvenir cuisant. Plus particulièrement sur les marques que m'a laissé ma mère."

C'était la première fois que Chloé agissait de la sorte. Elle souleva sa manche droite qui laissait paraître une énorme cicatrice. Jamais encore personne, à part son oncle et le juge, ne l'avait vu.

"Si quelque chose vous tracasse, n'hésitez pas. Je suis très confidente!"

Ce fut à son tour d'admirer les passants...

Lucy tourna à nouveau son regard vers Chloé et en regardant la cicatrice elle fut surprise et lui dis:

-Je...Je suis desolée que votre mére vous à laissez de tels marques.

Elle regarda la jeune femme dans les yeux et lui raconta pourquoi en parlant de sa mére son comportement avait changer:

-Mes vrais parents mon abandonnée alors que je n'avais que quelques mois et une gentille famille ma recueillie. J'ai toujours vecu avec eux et je les considerai comme mais vrais parents mais il y a quelques semaines ils ont étaient arretés et tués.

Elle ne préférait pas dire pour quel raison ils avaient été tués car elle ne savait pas si Chloé aurait apprecier d'être en compagnie d'une fille qui avait des parents accusés de piraterie.

"Ne le soyez pas!"

Chloé ne tarda pas à reprendre un léger sourire.

"Une histoire plus tragique que la mienne... J'en suis vraiment navré! Si ils se sont fait tué en cette période... Sa ne peut être que pour une chose..."

Elle baisa alors le regard sur le sol comme quand elle en avait l'habitude lorsqu'elle touchait un sujet sensible.

"Ce Beckett ferait tout pour être important aux yeux de tous! à même pendre un enfant pour de la piraterie! Enfin, pardonnez moi si je me trompe mais pour être arrêter et ensuite tué, en ces temps-ci, il n'y a qu'une seule solution. à moins qu'ils aient tués? Mais cela m'étonnerais si, comme vous dites, ils étaient très gentils."

Elle posa sa main sur l'épaule de la jeune fille et sourit:

"On trouvera une solution pour empêcher ce massacre injuste!"

Lucy regarda la jeune fille puis voyant qu'elle avait compris pourquoi ses parents avaient été tués elle baissa à son tour son regard puis elle dit d'une voix assez tremblante:

-Oui, ils ont été accusés de piraterie mais ils n'avaient rien fait, j'en suis sur. Le jour où je pourrais enfin me venger de Beckett je me sentirais mieux.

Elle regarda Chloé et lui fit un leger sourire.

"Moi je lui ferais payer d'avoir donné l'opportunité à mon père de se suicider!"

Cet homme là, ne l'ayant jamais rencontré, elle ne pouvait guère le voir. Connaissant ses méfait, elle le haïssait.

"Malheureusement, des femmes comme nous ne peuvent rien faire contre cet idiot!"

Elle sourit et tourna la tête frénétiquement.

"Ce sujet n'est pas des plus heureux, pas vrai? Changeons! Alors, Que faites vous dans la vie?"

Lucy appréciée vraiment de discuter avec cette jeune fille, elle était à l'écoute et gentille. Mais comme elle l'a dit ce sujet n'est pas des plus heureux. Elle répondit a la question de la jeune femme:

-Je ne travaille pas, aprés la mort de mes parents je suis rester enfermée quelques temps chez moi de peur que l'on m'arrete également. Mais je dois travailler sinon je n'arriverais jamais à vivre sans argents. Et vous que faites-vous?

Chloé éprouva beaucoup de compassion pour cette jeune fille. Se retrouvé seule, du jours au lendemain. Tantôt heureuse, maintenant seule. La vie n'est vraiment qu'une succession de machinerie cruelle du destin.

"Moi de même. Mais je n'ai guère besoin de travailler. Ma mère est une bourgeoise de première catégorie, une des pires. J'essaye de gagner de temps en temps mon argent afin de ne pas me confronté à ce crapaud, mais je n'en ai pas toujours l'occasion."

Une idée lui effleura l'esprit, oh oui, celle-là, c'était une bonne idée!

"Si vous cherchez un moyen de gagner de l'argent, j'ai peu être une idée... Ma mère cherche toujours une femme de ménage. Certes, elle ne paie que le prix normal mais..."

Elle changea de ton et reprit le sourire.

"Je peux m'arranger de sorte que vous preniez le rôle. Moi, bien sûr, je continue à faire le ménage et vous ne faites rien. Et la touches finale, vous aurez un logement chez moi. En conclusion, vous serrez gagnante sur tout les points!"

Lucy était trés étonner par la jeune femme quelle connaisait à peine. Elle ne se parlait pas depuis longtemps et pourtant elle lui proposait du travaille et un logement chez elle. Elle se sentit un peu genée et lui repondit en souriant:

-Je...Je ne sais pas quoi dire on se connait à peine et vous m'offrez du travaille et un logement chez vous. Je veux bien accepter le travail mais je veux gagner mon argent moi-même donc se seras moi qui travaillera et non vous. Mais merci beaucoup pour tout se que vous faîtes pour moi.

Elle regarda la jeune fille en souriant, elle n'avait jamais rencontrer une jeune fille si aimable, gentille et généreuse.

"Pardonnez moi si je suis direct mais être toujours à l'écoute et à l'aide des autres est une de mes qualités première. J'aime beaucoup aidé les gens dans la difficultés... Et même dans le chagrin! Je ne serais qu'idiote de vous laissé dans telle situation!"

Elle s'empara de la pile de bouquin.

"Décidément, vous êtes une personne extraordinaire Lucy. Alors, vous acceptez?"

Elle ôta une de ses mains des livres et la tendit à Lucy.

Lucy souriait à Chloé et lui repondit:

-Je le vois bien que vous êtes à l'écoute et j'accepte avec grand plaisir.

Elle lui tendit à son tour la main et lui dis:

-Je ne sais pas quoi faire pour vous remercier.

"Remercier moi tout simplement en étant heureuse!"

On lui aurait dit il y a quatre jours qu'elle allait faire des rencontres avec des gens si charmant... Elle ne l'aurait pas cru!

"Et bien allons dans ce cas!"

Lucy regarda la jeune fille qui était si gentille et lui dit:

-Je ferais de mon mieux pour être heureuse. Oui allons-y et laissez moi porter vos livres.

Elle regarda la jeune femme et lui sourit.

-Quand pourais-je commençais à travailler et a venir vivre chez vous?

"Il ne sont pas lourd vous savez, je sais les portés. Merci quand même."

Lui dit-elle en lui accordant un clin d'oeil.

"Et bien, comme toute fille responsable et aimant sa mère, je devrais dire 'avec l'accord de ma mère'. étant que je suis adulte et que je n'ai aucun respect pour elle, il en va de ma décision. Et je dirais que le plus tôt sera le mieux! Si vous voulez, nous pouvons passé dans votre maison aller chercher vos affaires que nous déplacerons dans la demeure de ma mère, qu'en dites-vous?"

Lucy regarda la jeune Chloé qui apparrement n'apprecier pas sa mére, mais ça pouvait se comprendre aprés tout se qu'elle lui avait fait. Effectivement elle avait besoin de retourner chez elle pour allez chercher ses affaires et dit:

-Oui, j'aurais besoin de retourner chez moi. Mais d'abord demander quand même à votre mére parce que si elle n'est pas d'accord je ne voudrais pas que vous aillez des histoires par ma faute.

"Elle n'a aucun droit sur moi. Le juge en a conclu que sa maison est la mienne aussi. En bref, je possède les papiers qui me laisse une certaine autorité sur la maison. Ne vous en faites pas, elle n'osera pas bronché."

Elle tourna la tête vers l'épicerie qui se trouvait face au parc et où sa mère était bonne cliente.

"Quand on parle du loup, on en voit le crapaud! Elle est là-bas."

Elle grimaça en la regardant marché avec fierté. Quelle honte!

"Bon et bien, je vous suis."